ArticleR231-3 du Code de l'organisation judiciaire Abrogé La référence de ce texte avant la renumérotation du 5 juin 2008 est l'article : CODE DE L'ORGANISATION JUDICIAIRE. - art. L331-2, ecqc ressort (Ab) La juridiction de proximité connaßt des actions mentionnées au premier alinéa de l'article L. 231-3 en dernier ressort.
Article L111-3 - Code de l'organisation judiciaire »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du
Résultatspar fonds. ORDONNANCE n° 2013-660 du 20 Septembre 2013 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption et les infractions assimilées. Vu la loi n°60-366 du 14 novembre 1960 portant Code de procédure pénale, telle que modifiée par les lois n°62-231 du 29 juin 1962, n°63-526 du 11 janvier 1963, n°69-371 du 2

ï»żActions sur le document Article L231-3 La juridiction de proximitĂ© connaĂźt, en matiĂšre civile, sous rĂ©serve des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires fixant la compĂ©tence particuliĂšre des autres juridictions, des actions personnelles ou mobiliĂšres jusqu'Ă  la valeur de 4 000 euros. Elle connaĂźt des demandes indĂ©terminĂ©es qui ont pour origine l'exĂ©cution d'une obligation dont le montant n'excĂšde pas 4 000 euros. Elle connaĂźt, dans les mĂȘmes limites, en vue de lui donner force exĂ©cutoire, de la demande d'homologation du constat d'accord formĂ©e par les parties, Ă  l'issue d'une tentative prĂ©alable de conciliation. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012

Vul'article 40 du code de procĂ©dure civile, ensemble l'article L. 231-3, alinĂ©a 2, du code de l'organisation judiciaire ; Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ©, que le vĂ©hicule d'occasion qu'il avait acquis auprĂšs de M. X. et de Mme Y. ayant prĂ©sentĂ© des dysfonctionnements, M. Z. a assignĂ© les vendeurs devant un juge de proximitĂ© afin d'obtenir la rĂ©solution judiciaire de la vente et

La juridiction de proximitĂ© connaĂźt, en matiĂšre civile, sous rĂ©serve des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires fixant la compĂ©tence particuliĂšre des autres juridictions, des actions personnelles ou mobiliĂšres jusqu'Ă  la valeur de 4 000 euros. Elle connaĂźt des demandes indĂ©terminĂ©es qui ont pour origine l'exĂ©cution d'une obligation dont le montant n'excĂšde pas 4 000 euros. Elle connaĂźt, dans les mĂȘmes limites, en vue de lui donner force exĂ©cutoire, de la demande d'homologation du constat d'accord formĂ©e par les parties, Ă  l'issue d'une tentative prĂ©alable de conciliation.

Codede l'organisation judiciaire : Article L213-3 Les cookies nous permettent de personnaliser les annonces. Nous partageons des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de publicitĂ©, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectĂ©es lors de votre utilisation de leurs services. Article L211-3 - Code de l'organisation judiciaire »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou du VĂ©hicules affichant une carte « mobilitĂ© inclusion » dĂ©livrĂ©e sur le fondement de l'article L.241-3 du code de l'action sociale et des familles ou une carte de stationnement pour personnes handicapĂ©es dĂ©livrĂ©e sur le fondement de l'article L.241-3-2 du mĂȘme code, dans sa rĂ©daction antĂ©rieure au 1er janvier 2017, → VĂ©hicules affectĂ©s aux associations agréées de sĂ©curitĂ©
NOR EFIX1224492DELI n°0196 du 24 aoĂ»t 2012Texte n° 6ChronoLĂ©giVersion Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion initiale Publics concernĂ©s administrations, juridictions, auxiliaires de justice, dĂ©biteurs et crĂ©anciers de l'Etat. Objet transformation de la dĂ©nomination agent judiciaire du TrĂ©sor » en agent judiciaire de l'Etat ». EntrĂ©e en vigueur le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice les fonctions d'agent judiciaire du TrĂ©sor, exercĂ©es depuis 1998 par le directeur des affaires juridiques des ministĂšres financiers, ont Ă©tĂ© créées en 1790 avec une double mission la reprĂ©sentation de l'Etat devant les tribunaux judiciaires et le recouvrement des crĂ©ances de l'Etat. Cette seconde mission a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e aux comptables du TrĂ©sor par le dĂ©cret n° 92-1369 du 29 dĂ©cembre 1992. Depuis 1993, l'agent judiciaire du TrĂ©sor a donc pour unique fonction de reprĂ©senter l'Etat devant les juridictions judiciaires, conformĂ©ment Ă  l'article 38 de la loi n° 55-366 du 3 avril 1955, qui dispose que toute action portĂ©e devant les tribunaux de l'ordre judiciaire et tendant Ă  faire dĂ©clarer l'Etat crĂ©ancier ou dĂ©biteur pour des causes Ă©trangĂšres Ă  l'impĂŽt et au domaine doit, sauf exception prĂ©vue par la loi, ĂȘtre intentĂ©e Ă  peine de nullitĂ© par ou contre l'agent judiciaire du TrĂ©sor public ». Le prĂ©sent dĂ©cret substitue Ă  la dĂ©nomination d'agent judiciaire du TrĂ©sor celle d'agent judiciaire de l'Etat, dans un souci d'actualisation et de clarification. Cette nouvelle appellation recentre l'agent judiciaire sur la rĂ©alitĂ© de ses fonctions actuelles reprĂ©senter tous les services de l'Etat, et donc tous les ministĂšres, devant les juridictions de l'ordre judiciaire. Elle supprime, par ailleurs, la confusion rĂ©currente des citoyens et de nombre de juridictions entre l'agent judiciaire et le TrĂ©sor public. Ce changement de dĂ©nomination s'inscrit dans le cadre d'une modernisation et d'une normalisation rigoureuse des procĂ©dures suivies par l'agent judiciaire. Elle ne modifie en rien ses compĂ©tences. RĂ©fĂ©rences les textes modifiĂ©s par le prĂ©sent dĂ©cret peuvent ĂȘtre consultĂ©s, dans leur rĂ©daction issue de cette modification, sur le site LĂ©gifrance Le PrĂ©sident de la RĂ©publique, Sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l'Ă©conomie et des finances, Vu la Constitution, notamment le second alinĂ©a de son article 37 ; Vu le code de l'aviation civile, notamment ses articles R. 134-2 et R. 134-6 ; Vu le code de commerce, notamment son article R. 743-175 ; Vu le code de la construction et de l'habitation, notamment ses articles R. 431-5, R. 431-10 et R. 432-8 ; Vu le code de l'environnement, notamment ses articles L. 597-6 et L. 597-30 ; Vu le code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, notamment son article 1090 ; Vu le code de justice administrative, notamment son article R. 123-20 ; Vu le code de justice militaire, notamment ses articles R. 212-29 Ă  R. 212-42 ; Vu le code des pensions civiles et militaires de retraite, notamment son article L. 55 ; Vu le code de procĂ©dure pĂ©nale, notamment ses articles R. 26 Ă  R. 40-22 ; Vu le code de la sĂ©curitĂ© sociale, notamment son article R. 815-52 ; Vu l'ordonnance du 1er mai 1816 qui autorise le TrĂ©sor Ă  payer les rentes et pensions sur des procurations, quand les titulaires ne jugeront pas Ă  propos de se dessaisir de leurs inscriptions, notamment son article 5 ; Vu la loi du 14 avril 1924 modifiĂ©e sur les pensions civiles et militaires, notamment son article 65 ; Vu la loi n° 48-830 du 15 mai 1948 habilitant le ministre chargĂ© de la reconstruction et de l'urbanisme Ă  intenter au nom de l'Etat les actions en rĂ©paration et en rĂ©pĂ©tition prĂ©vues par l'article 72 de la loi du 28 octobre 1946 sur les dommages de guerre ; Vu la loi n° 55-366 du 3 avril 1955 modifiĂ©e relative au dĂ©veloppement des crĂ©dits affectĂ©s aux dĂ©penses du ministĂšre des finances et des affaires Ă©conomiques pour l'exercice 1955, notamment son article 38 ; Vu la loi n° 69-992 du 6 novembre 1969 instituant des mesures de protection juridique en faveur des rapatriĂ©s et de personnes dĂ©possĂ©dĂ©es de leurs biens outre-mer, notamment son article 6 ; Vu le dĂ©cret n° 55-1350 du 14 octobre 1955 modifiĂ© pour l'application du dĂ©cret n° 55-22 du 4 janvier 1955 portant rĂ©forme de la publicitĂ© fonciĂšre, notamment son article 38 ; Vu le dĂ©cret n° 62-1587 du 29 dĂ©cembre 1962 modifiĂ© portant rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la comptabilitĂ© publique, notamment ses articles 89 et 90 ; Vu le dĂ©cret n° 68-445 du 13 mai 1968 modifiĂ© relatif Ă  la procĂ©dure de remise gracieuse des dĂ©bets constatĂ©s envers le TrĂ©sor au titre des pensions et de leurs accessoires, notamment son article 4 ; Vu le dĂ©cret n° 92-1369 du 29 dĂ©cembre 1992 modifiĂ© relatif au recouvrement des crĂ©ances de l'Etat mentionnĂ©es Ă  l'article 80 du dĂ©cret n° 62-1587 du 29 dĂ©cembre 1962, notamment ses articles 3 et 5 ; Vu le dĂ©cret n° 97-1191 du 19 dĂ©cembre 1997 modifiĂ© pris pour l'application au ministre de l'intĂ©rieur du 1° de l'article 2 du dĂ©cret n° 97-34 du 15 janvier 1997 relatif Ă  la dĂ©concentration des dĂ©cisions administratives individuelles ; Vu le dĂ©cret n° 98-975 du 2 novembre 1998 modifiĂ© portant crĂ©ation d'une direction des affaires juridiques au ministĂšre de l'Ă©conomie, des finances et de l'industrie, notamment ses articles 1er et 3 ; Vu le dĂ©cret n° 2000-1204 du 12 dĂ©cembre 2000 modifiant le code de procĂ©dure pĂ©nale deuxiĂšme partie DĂ©crets en Conseil d'Etat et relatif Ă  l'indemnisation Ă  raison d'une dĂ©tention provisoire, notamment son article 2 ; Vu le dĂ©cret n° 2008-680 du 9 juillet 2008 modifiĂ© portant organisation de l'administration centrale du ministĂšre de l'Ă©cologie, de l'Ă©nergie, du dĂ©veloppement durable et de l'amĂ©nagement du territoire, notamment son article 2 ; Vu le dĂ©cret n° 2011-498 du 5 mai 2011 portant crĂ©ation d'une dĂ©lĂ©gation aux affaires juridiques auprĂšs des ministres chargĂ©s des affaires sociales, notamment son article 2 ; Vu la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2012-231 L du 7 juin 2012 ; Le Conseil d'Etat section des finances entendu ; Le conseil des ministres entendu, DĂ©crĂšte A l'article L. 55 du code des pensions civiles et militaires de retraite et Ă  l'article 6 de la loi du 6 novembre 1969 susvisĂ©e, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».Aux articles L. 597-6 et L. 597-30 du code de l'environnement, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».A l'article 5 de l'ordonnance du 1er mai 1816 susvisĂ©e, Ă  l'article 65 de la loi du 14 avril 1924 susvisĂ©e et Ă  l'article unique de la loi du 15 mai 1948 susvisĂ©e, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».A l'article 38 de la loi du 3 avril 1955 susvisĂ©e, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor public » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».Au premier alinĂ©a de l'article 1090 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, les mots agence judiciaire du TrĂ©sor » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».Aux articles R. 134-2 et R. 134-6 du code de l'aviation civile, Ă  l'article R. 743-175 du code de commerce, aux articles R. 431-5, R. 431-10 et R. 432-8 du code de la construction et de l'habitation, aux articles R. 212-29, R. 212-31 Ă  R. 212-34, R. 212-37 Ă  R. 212-39 et R. 212-42 du code de justice militaire et aux articles R. 27, R. 28, R. 30 Ă  R. 38, R. 40-4, R. 40-5, R. 40-7, R. 40-13, R. 40-15, R. 40-16, R. 40-18 et R. 40-19 du code de procĂ©dure pĂ©nale, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor» sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ». A l'article R. 815-52 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor public » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».A l'article 38 du dĂ©cret du 14 octobre 1955 susvisĂ©, aux articles 89 et 90 du dĂ©cret du 29 dĂ©cembre 1962 susvisĂ©, Ă  l'article 4 du dĂ©cret du 13 mai 1968 susvisĂ©, aux articles 3 et 5 du dĂ©cret du 29 dĂ©cembre 1992 susvisĂ©, Ă  l'annexe du dĂ©cret du 19 dĂ©cembre 1997 susvisĂ©, aux articles 1er et 3 du dĂ©cret du 2 novembre 1998 susvisĂ©, Ă  l'article 2 du dĂ©cret du 9 juillet 2008 susvisĂ© et Ă  l'article 2 du dĂ©cret du 5 mai 2011 susvisĂ©, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor» sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».Dans tous les autres textes rĂ©glementaires, les mots agent judiciaire du TrĂ©sor » et les mots agent judiciaire du TrĂ©sor public » sont remplacĂ©s par les mots agent judiciaire de l'Etat ».I. - Les dispositions modifiĂ©es par les articles 1er et 3 peuvent ĂȘtre modifiĂ©es par dĂ©cret en Conseil d'Etat. II. - Les dispositions modifiĂ©es par les articles 4 Ă  6 peuvent ĂȘtre modifiĂ©es par des actes pris dans les formes requises pour leur modification antĂ©rieurement Ă  l'entrĂ©e en vigueur du prĂ©sent Premier ministre et le ministre de l'Ă©conomie et des finances sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l'application du prĂ©sent dĂ©cret, qui sera publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique française. Fait le 23 aoĂ»t Hollande Par le PrĂ©sident de la RĂ©publique Le Premier ministre,Jean-Marc AyraultLe ministre de l'Ă©conomie et des finances,Pierre MoscoviciExtrait du Journal officiel Ă©lectronique authentifiĂ© PDF - 214,4 KoRetourner en haut de la page
Codede l'organisation judiciaire : Article L231-4. Les cookies nous permettent de personnaliser les annonces. Nous partageons des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de publicitĂ©, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectĂ©es lors de votre utilisation de leurs services. Il s'agit d'un cours complet intĂ©gralement rĂ©digĂ© d’Introduction au droit civil. En l'occurrence, c’est un cours du 1er semestre en Licence 1 de Droit, science politique, en Institut d’Études politiques et parfaitement valable dans d’autres cursus. Ce document clair, exhaustif 53 pages et trĂšs structurĂ© s’avĂšrera idĂ©al pour de nombreuxses Ă©tudiantes en Droit, science politique, IEP, IPAG, AES, GEA, LEA
 et bien entendu toute autre intĂ©ressĂ©e comme par exemple pour prĂ©parer certains concours. Nota bene police utilisĂ©e dans le document Times New Roman 10. Voici le plan Introduction gĂ©nĂ©rale. Section 1 L’organisation de l’enseignement § 1. Le cours § 2. Les travaux dirigĂ©s § 3. La bibliographie Section 2 GĂ©nĂ©ralitĂ©s sur le droit § 1. Qu’est-ce qu’une rĂšgle de droit ? A. Ce que n’est pas une rĂšgle de droit ? B. Ce qu’est la rĂšgle de droit ? 1° Le caractĂšre gĂ©nĂ©ral et impersonnel 2° Le caractĂšre coercitif de la rĂšgle de droit § 2. Comment utilise-t-on une rĂšgle de droit ? § 3. OĂč trouve-t-on la rĂšgle de droit ? A. Le texte Ă©crit B. La jurisprudence C. La doctrine § 4. Comment classe-t-on les rĂšgles de droit ? A. La distinction entre le droit interne et le droit externe international 1° Le droit international public il s’agit du droit rĂ©gissant les relations entre les Etats. 2° Le droit international privĂ© il s’agit du droit qui s’occupe des relations internationales privĂ©es. B. La distinction entre le droit public et le droit privĂ© Section 3 L’organisation juridictionnelle française § 1. La sĂ©paration en deux ordres de juridictions § 2. Les juridictions de l’ordre judiciaire A. Les juridictions civiles B. Les juridictions rĂ©pressives § 3. Les juridictions de l’ordre administratif 1Ăšre partie Le droit, envisagĂ© comme un ensemble de rĂšgles le droit objectif TITRE Ier LES SOURCES ECRITES Chapitre 1. Les sources internes Section 1 La Constitution § 1. Le contenu de la Constitution de la Ve RĂ©publique § 2. Le rĂŽle du Conseil constitutionnel Section 2 La loi et le rĂšglement § 1. Les caractĂšres communs de la loi et du rĂšglement A. Le caractĂšre gĂ©nĂ©ral B. Le caractĂšre obligatoire 1° Les lois supplĂ©tives de volontĂ© 2° Les lois impĂ©ratives C. Le caractĂšre permanent § 2. Les caractĂšres spĂ©cifiques A. Les diffĂ©rences de domaines 1 Le rĂšglement pris pour l’exĂ©cution des lois 2 Le rĂšglement autonome B. La diffĂ©rence de procĂ©dure la procĂ©dure d’élaboration et de mise en vigueur de la loi a L’adoption b Le contrĂŽle du Conseil constitutionnel c L’entrĂ©e en vigueur de la loi 1° La promulgation 2° La publication Chapitre 2. Les sources internationales Section 1 Le droit international des droits de l’homme § 1. Les textes relatifs § 2. La sanction Section 2 Le droit communautaire § 1. Bref historique de la construction europĂ©enne § 2. Les institutions communautaires § 3. Les rĂšgles communautaires 1° Le rĂšglement communautaire 2° La directive communautaire TITRE IIe LES SOURCES NON-ECRITES Chapitre 1. La Jurisprudence Section 1 Les contraintes pesant sur le juge § 1. L’obligation de juger § 2. L’obligation de ne pas lĂ©gifĂ©rer A. La signification de l’article 5 du Code civil B. Le corollaire de l’article 5 du Code civil C. L’attĂ©nuation de l’article 5 du Code civil 1 ArrĂȘt d’espĂšce 2 ArrĂȘt de principes § 3. L’obligation de motiver ses dĂ©cisions 1° Les motifs 2° Le dispositif Section 2 Les fonctions du juge § 1. L’évolution des mĂ©thodes d’interprĂ©tation A. L’Ecole des exĂ©gĂšses B. L’Ecole de la libre recherche scientifique § 2. Les procĂ©dĂ©s actuels d’interprĂ©tation A. Les arguments B. Les maximes d’interprĂ©tation Section 3 Le pourvoi en cassation § 1. L’organisation de la Cour de cassation § 2. La saisie de la Cour de cassation § 3. La typologie des arrĂȘts de la Cour de cassation A. Les arrĂȘts de cassation B. Les arrĂȘts de rejet Chapitre 2. La Coutume et les usages Section 1 La notion de Coutume § 1. Les composantes de la Coutume A. L’élĂ©ment matĂ©riel B. L’élĂ©ment psychologique § 2. Les caractĂšres de la Coutume Section 2 L’autoritĂ© de la Coutume § 1. La Coutume obligatoire en vertu de la loi § 2. La Coutume obligatoire dans le silence de la loi § 3. La Coutume contraire Ă  la loi TITRE IIIe LES CONFLITS DE NORMES Chapitre 1. Les conflits temporels de normes Section 1 La problĂ©matique du conflit temporel de normes § 1. Les diffĂ©rentes solutions possibles § 2. Les diffĂ©rentes solutions envisageables Section 2 La rĂ©solution en droit positif du conflit temporel de normes § 1. Le principe L’effet immĂ©diat de la loi nouvelle A. Les droits acquis et les simples expectatives B. La crĂ©ation des droits et effets Ă  venir § 2. Les exceptions au principe de l’effet immĂ©diat de la loi nouvelle A. La rĂ©troactivitĂ© de la loi nouvelle B. La post-activitĂ© de la loi ancienne Chapitre 2. Les conflits hiĂ©rarchiques de normes Section 1 La conformitĂ© des TraitĂ©s Ă  la Constitution § 1. La supĂ©rioritĂ© de la Constitution sur les TraitĂ©s § 2. Le contrĂŽle de la conformitĂ© des TraitĂ©s Ă  la Constitution Section 2 Le contrĂŽle de la loi Ă  la Constitution § 1. L’absence de contrĂŽle par le juge ordinaire § 2. Le contrĂŽle par le Conseil constitutionnel Section 3 Le contrĂŽle de la conformitĂ© de la loi au TraitĂ© § 1. L’absence de contrĂŽle par le Conseil constitutionnel § 2. Le contrĂŽle par le juge ordinaire Section 4 Le contrĂŽle de la conformitĂ© du rĂšglement aux normes supĂ©rieures 2Ăšme partie Le droit, envisagĂ© comme un ensemble de prĂ©rogatives les droits subjectifs TITRE Ier LES TITULAIRES DU DROIT SUBJECTIF Chapitre 1. Les personnes physiques Section 1 L’identification des personnes physiques § 1. Le nom § 2. Le domicile § 3. La nationalitĂ© Section 2 L’existence de la personnalitĂ© juridique § 1. Le dĂ©but de la personnalitĂ© juridique A. La naissance B. La conception § 2. La fin de la personnalitĂ© juridique A. La mort B. L’absence Section 3 Les degrĂ©s de la personnalitĂ© juridique § 1. L’incapacitĂ© de jouissance § 2. L’incapacitĂ© d’exercice Chapitre 2. Les personnes morales Section 1 La reconnaissance de la personnalitĂ© morale § 1. Les groupements reconnus § 2. Les groupements non-reconnus A. La controverse doctrinale B. La solution jurisprudentielle Section 2 Le rĂ©gime de la personnalitĂ© morale A. L’identification de la personnalitĂ© morale B. La capacitĂ© de la personnalitĂ© morale . 572 533 216 264 274 143 485 662

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